Le paysage de la liberté d’expression et de la sécurité des journalistes est en proie aux conflits intermittents qui secouent en Centrafrique depuis des décennies. L’impunité pour les crimes contre les journalistes, s’est malencontreusement ancrée fermement.
Les libertés fondamentales suffoquent. Le spectre des représailles plane constamment sur la population, et en particulier sur les journalistes et les médias. À ceci, s’ajoutent le déficit de compétences, de ressources et la difficulté économique des entreprises de presse. Le tout exacerbé par l’impact négatif de la pandémie du COVID-19.
La pénétration de l’internet et des réseaux sociaux dans le pays ne suit pas le rythme moyen sur le continent africain.
Avec des traits caractéristiques des pays à conflits internes récurrents, l’autocensure et la peur des représailles s’entremêlent aux discours de haine. Ceci sert de prétexte pour les autorités à adopter des mesures drastiques de contrôle de la liberté d’expression tant hors ligne qu’en ligne. Pour en savoir davantage sur la situation de la liberté d’expression en République de la Centrafrique, veuillez cliquer ici pour en lire davantage.